Un
des gros avantages de l'Oural, c'est la philosophie qui l'accompagne.
De toutes façons, il faut prévoir large dans ses temps de
trajet. On se fiche de la moyenne, on se fiche de se faire doubler, on
prend son temps. Une envie de pisser, une envie d'une petite mousse
fraîche, une moto arrêtée au bord de la route, un coin sympa pour une photo, (qui a osé ajouter "une p'tite panne..." ? mauvaise langue !) tout est occasion pour s'arrêter sans contrainte et bavarder avec quelques passants à la curiosité bien
souvent émoustillée par l'engin. Par exemple, je n'ai pas
résisté au plaisir d'un petit arrêt-photo à
côté de ce half-track exposé le long de la RN71.
Après
cette photo avec "du lourd", dans le domaine "livrée militaire",
sur le site du circuit on retrouve plus léger avec cette brave
250 MZ :
Dans la catégorie flat-twins, forcément chère à tout amateur d'Oural ou Dniepr, voici les motos qui ont titillé mon objectif, en commençant par une construction Française (Cemec) :
on passe aux Allemandes, avec deux latérales également :
Puis à la très fameuse R75 :
Une vraie curiosité, un basset à moteur Panhard :
Dans la catégorie flat-twins, forcément chère à tout amateur d'Oural ou Dniepr, voici les motos qui ont titillé mon objectif, en commençant par une construction Française (Cemec) :
on passe aux Allemandes, avec deux latérales également :
Puis à la très fameuse R75 :
Une vraie curiosité, un basset à moteur Panhard :
Et pour clore le sujet des flats, un hommage collectif à l'Amicale Dniepr et Oural de France qui présentait un stand avec des machines représentatives et des volontaires toujours prêts à gentiment expliquer au public pourquoi ces motos sont souvent nettement moins anciennes que leur allure peut le laisser croire :
J'ai aussi photographié quelques beaux V-Twins, avec cette Vincent et cette Indian :
Pour diversifier les plaisirs, un sidecar Guzzi qui tournait fort sur la piste, estampillé Charles Krajka, un nom qui "cause" aux motards cultivés :
Pour le fun, en restant dans le domaine Moto Guzzi, mention spéciale à la plus mahousse béquille latérale qu'il m'ait été donné de voir, avec ce brave vieux coupe-jambon :
Et enfin, rappelant que j'aime TOUTES les motos, j'ai adoré pouvoir ramener ce cliché d'une bien rare Suz RE5 à moteur rotatif Wankel, avec en arrière-plan la non moins célèbre GT 750 trois cylindres 2-temps (ma première moto modèle réduit, quand j'étais gamin !)
Juste pour un sourire attendrissant, avec une p'tite nostalgie de mes premières bécanes japonaises, la 750 GT a tourné en piste, c'est la seule de sa série que j'ai vue nettement saucissonner dans la ligne droite des stands !
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